Outbuddies DX

Critique par Yann Grenier

Explorez un monde fantastique , style Lovecraft, ouvert dans ce Metroidvania rempli de défis et d’énigmes avec une grande liberté de mouvement dès le début de l’aventure. Entrez dans Bahlam, une forteresse d’anciens dieux engloutie au fond de l’océan Atlantique Sud. À la suite d’un naufrage, l’archéologue et aventurier maritime, Nikolay Bernstein, reprend connaissance à 36 000 pieds sous la mer. Il est grièvement blessé et lié à contrecœur à une unité surnaturelle – Buddy. À la recherche de réponses sur son déplacement, notre protagoniste principal s’enfonce profondément dans la ville perdue, réalisant progressivement une présence inquiétante dans ses cavernes ombragées.

Ce titre possède une excellente courbe de difficulté et une excellente prise en main simple et efficace. Votre montée en puissance vient rapidement grâce aux capacités et compétences pour votre arme et votre combinaison. Votre unité Buddy cartographiera la zone et fonctionnera comme un outil pratique de qualité de vie qui peut être contrôlé à volonté pour manipuler votre environnement en utilisant diverses capacités comme le piratage, la recherche de secrets et la télékinésie. L’option coopérative locale invite un deuxième joueur à explorer et à vivre cette aventure avec vous en prenant le contrôle de l’unité Buddy.

Visuellement, Outbuddies DX est somme toute correcte pour un jeu style rétro pixel qui fonctionne avec l’ambiance sonore du jeu. De plus, la bande originale de musique OGRE est très classe. Forcément, ce genre de visuels ne plait pas à tous et peut-être que la surabondance au court des années a fini par lasser certains joueurs… Mais, ici, ça fonctionne bien et mérite le coup d’œil.

Du plaisir immédiat à explorer un monde fantastique vibrant et ouvert, avec un vrai gameplay Metroidvania, des puzzles, des batailles de boss épiques et vraiment dures. Un pixel art artisanal avec une mise à l’échelle sans distorsion dans la résolution. Un jeu très cool.

Merci à l’équipe d’Headup Games pour le code-presse.

Note: 7.5/10

#Outbuddies