Critique par Yann Grenier
The Warlock of Firetop Mountain est une adaptation d’un jeu d’aventure de Steve Jackson, celui-ci de 1982, et co-écrit par Ian Livingstone, un mixte entre le jeu de plateau et d’un conte dont vous êtes le héros. Nostalgie quand tu nous tiens…
Vous commencez The Warlock of Firetop Mountain en choisissant votre personnage parmi un stock de quatre héros d’Allansian. Chacun à ses propres statistiques et une quête différente – qui les plonge dans les profondeurs de la montagne Firetop. Dekion Strom, par exemple, entre dans la montagne Firetop à la recherche d’un médaillon volé par un gobelin nommé Rotgut. Un autre personnage, Alexandra of Blacksand, est payé par un mystérieux bienfaiteur nommé Kith pour apporter au démoniste Zagor un rubis connu sous le nom d’Oeil du cyclope. Lancer le jeu à plusieurs reprises vous permet finalement de débloquer d’autres personnages, qui ont tous leurs propres raisons de se retrouver dans Firetop Mountain.
C’est un donjon, pur et simple, vous devrez vous attendre à mourir souvent et parfois sans aucun avertissement. Sur les très bons passages, vous pourrez choisir de graver une pierre de résurrection et de continuer à partir du dernier point de contrôle, mais vous n’en avez que quelques-uns, vous feriez donc mieux de les prendre aux bons moments sinon la mort ne sera pas très loin. Une fois que vous avez appris les motifs de la première douzaine ou des deux douzaines de pièces, les ré-exécuter après un décès peut sembler une corvée – j’avoue que c’est parfois frustrant.
Si vous avez déjà joué à un jeu de rôle sur table et que vous avez eu la chance que votre maître de donjon crée un jeu miniature, vous serez en terrain connu, car c’est ce que Tin Man à fait ici. Les meilleurs moments sont lorsque l’art tiré à la main du jeu d’aventure original Warlock of Firetop Mountain rencontre celle du nouveau jeu et que vous pouvez comparer l’art ancien à la représentation du nouveau jeu. Le sentiment de jeu de société s’étend jusuq’ à votre personnage, rendu comme un miniature de deux pouces de haut avec une base circulaire. Pour compléter le motif, il ou elle tourne autour de l’environnement comme s’il était contrôlé par la main invisible du joueur. Joué sur une grille, semblable à un véritable RPG de table, le système au tour par tour permet au joueur et à tous les ennemis de bouger ou d’attaquer simultanément.
C’est étonnamment stratégique, l’enfer, mais Tin Man’s à remodelé avec amour le travail de Steve Jackson dans un RPG relaxant et léger. En gros, le jeu à un bonne courbe d’apprentissage, les visuel pour le style sont très bien, le son et la musique se fondent parfaitement à l’ambience et la chance de jouer en mode portable est tout simplement magique. Un excellent titre pour les fan du genre sur Switch.
Merci à Tin Man’s Games pour le code-presse de ce jeu et les heures de plaisir 🙂
123 games review 